Chers lecteurs, je vous souhaite une bonne année 2019. Voici mon chien qui sait vraiment vivre. Il prend son temps n’importe quand. C’est un grand professeur pour moi. Je souhaite à tout le monde d’être plus indulgent envers soi-même et de prendre plus de temps pour soi. lockChers lecteurs, je vous souhaite une bonne année 2019. Voici mon chien qui sait vraiment vivre. Il prends son temps n’importe quand. Il est un Grand professeur pour moi. Je souhaite à tout le monde d’etre plus gentille Avec soi-même et de prendre plus de temps pour soi-même.

Nous vous souhaitons un joyeux noël et une bonne année 2019. Merci de suivre notre blog et nos livres avec assiduité. 

Chers lecteurs,
Voici mon chien d’assistance. Il s’appelle Kallino. Dès qu’il est “arrivé” dans ma vie, tout a changé. Il est comme un antidépresseur. Mon amour pour lui me donne plus de force pour me confronter “au monde”. Sa joie de vivre me donne plus envie de rire  qu’avant et je suis aujourd’hui en meilleur santé. Comme c’est mon compagnon de jour comme de nuit, je me sens moins vulnérable face au brouhaha et aux agressions des personnes qui m’entourent. De cette manière, j’ai fait la connaissance de mes voisins et je rends visite à mes amis plus souvent. Pendant la période de stress qui précède noël, Kallino arrive à me faire rester calme et plus concentrée. C’est une partie de ma vie que je voulais partager avec vous, chers lecteurs.

Nous vous souhaitons un joyeux noël et une bonne année 2019. Merci de suivre notre blog et nos livres avec assiduité.

Chers lecteurs, je vous souhaite une bonne année 2019. Voici mon chien qui sait vraiment vivre. Il prend son temps n’importe quand. C’est un grand professeur pour moi. Je souhaite à tout le monde d’être plus indulgent envers soi-même et de prendre plus de temps pour soi.

Chers lecteurs,

J’ai réussi à en finir avec mon burnout. Chaque jour, je lutte pour avoir du temps libre nécessaire au maintien de ma santé. Cela signifie aussi que j’arrive à dire « non » dans certaines situations. Souvent, c’est le début d’un conflit intérieur, mais j’ai découvert que cela vaut finalement la peine. Mon rêve d’écrire et de publier un livre sur le chemin de ma « guérison » est devenu réalité. Je souhaite également que vous puissiez croire en vos rêves pour qu’ils finissent, un jour, par se réaliser.

Renate Weber

Je voudrais partager avec vous mon roman autobiographique de guérison qui est désormais disponible sur Amazon (seulement en allemand pour le moment) : https://www.amazon.de/Wiedergeborene-Reise-Mittelpunkt-Selbst-Noema/dp/3838212703

Aussi, j’aimerais raconter mon histoire :

Cela fait sept ans que ma vie ressemble à un miroir cassé : j’ai fait une fausse couche, mon petit copain m’a abandonnée et j’ai été très malade. Les médecins ne savaient plus quoi faire. Les entrevues avec ma famille me demandaient beaucoup d’énergie, et cela ressemblait à un véritable marathon. A ce moment-là, j’ai voulu comprendre pourquoi tout s’était déroulé de la sorte. Les situations étranges se sont répétées dans ma vie et j’ai toujours eu le don pour attirer les mêmes personnes. Je me sentais toujours coupable et j’avais honte sans savoir pourquoi. Quand j’étais avec ma famille, j’étais toujours très fatiguée, comme si j’avais couru un marathon. J’ai voulu comprendre pourquoi tout se passait ainsi et j’ai donc commencé à écrire. J’écrivais comment je me sentais dans n’importe quelle situation et sur tout ce que les gens m’avaient dit. Après un temps, j’ai découvert qu’il s’agissait de phrases qui ne reflétaient pas exactement ma perception et mes sentiments, ce qui m’a fait tomber dans une profonde dépression. Aussi, j’ai compris que je ne m’étais jamais penchée sur mes propres sentiments. Je me suis sentie incertaine et cela attirait des gens qui s’acharnaient sur moi, au point de m’intimider. Je me suis demandée ce qui n’allait pas dans ma façon d’être. Jusqu’au jour où je n’en pus plus. Je suis restée dans mon lit sans pouvoir me reposer, mes pensées s’entremêlaient dans ma tête sans arrêt. La nuit, je ne pouvais plus dormir ou je faisais des cauchemars. Je suis allée plusieurs fois dans une clinique psychosomatique. Là-bas, lors des thérapies de groupe, j’ai appris à confier mes sentiments aux autres mais également ma perception du monde indépendamment des commentaires des autres.  J’ai compris que mes sentiments de culpabilité et de honte venaient de mes traumatismes (de mon abus sexuel, d’avoir vu les attaques du 11 septembre 2001 à New York, de m’être retrouvée seule lorsque j’étais toute jeune en Espagne). Et finalement, j’ai aussi appris que mon besoin de me reposer après le travail était indispensable parce que je suis une personne hautement sensible. Je ne me comportais pas comme la majorité des gens à cause de la surcharge sensorielle qui me traversait alors que les autres s’ennuyaient. J’ai essayé de ne plus m’autocritiquer pour éviter d’être « aussi sensible ». Le livre que j’étais en train d’écrire, était comme un copain fidèle pour moi. Tout ce que je ressentais était mot pour mot retranscrit dans mon ordinateur. Il n’y avait aucune résistance dans ce processus d’écriture et pour moi, c’était comme une thérapie. Mon thérapeute m’a conseillé d’intégrer un conte de guérison dans mon autobiographie (la suite de Fulna). Ce nouveau monde que j’imaginais, me donnait du courage pour surmonter les conflits de ma vie quotidienne. Aussi, je sentais une nouvelle joie de vivre reflétée dans ma perception, mes sentiments et ma créativité. Et je sentais que ce livre pouvait aussi aider et donner du courage aux autres personnes pour qu’elles tracent leur propre chemin. Tout cela, c’est mon histoire que je voudrais partager avec vous.

 Chers lecteurs, 

Aprés avoir travaillé sept années pour publier mon livre: “Renate -ou le voyage au centre de soi-même” ce roman autobiographique et de guérison va être finalment publié le 26 de octobre. Le livre sera en allemand (“Die Wiedergeborene oder die Reise zum Mittelpunkt des Selbst”) et on peut le commander chez Amazon.de. C’est mon bût de le traduire en francais quand le roman sera plus bien connû. 

Ecole canine?

Quand je suis allée à l’école canine avec mon chiot Kalle, j’avais l’impression que nous-les humains devaient apprendre encore plus du « langage des chiens » et d’une éducation conséquente cohérente que les propres chiots. Alors, quand il y avait un maître du chien qui hurlait à son chiot de s’assoir je m’ai demandé si notre traitement des chiens miroitait aussi comment nous nous traitons. Si nous faisons une erreur comment est-ce que nous réagissons ? Est-ce que nous pouvons nous pardonner ? Où est-ce que nous nous fouettons avec la fouette du critique intérieur ? Moi, je crois, que nous ne nous traitons pas très bien. Une fois mon thérapeute a dit : Tu devrais te traiter comme ta meilleure amie. Comme ça tu ne vas jamais être toute seule. »

Je reviens à la situation dans l’école canine ou l’homme criait à son chien. L’entraîneur des chiens s’a rendu compte ce qu’il passait et il demandé l’homme : « Tu veux que ton chien te obéit ou non ?

« Je veux qu’il me obéisse, parce qu’il sait déjà la commande « Assieds-toi », a répondu l’homme.

« Si, mais il est  encore un chiot. Les chiots peuvent faire attention mais seulement pour 3 secondes. Si tu lui cries il ne sait pas quoi faire. Et même si tu le répètes la commande, il ne peut pas rester assis que pour quelque secondes. »

Je mirais le propriétaire du chiot, son chiot vif et sa fille de huit ans qui était à son côté. Même que l’homme ne disait mot on pouvait voir qu’il était encore en colère. Sa fille me donnait l’impression d’une adulte « en miniature ». Ce n’était pas à cause de sa jupe ou ses chaussettes. C’était à cause de son expression faciale vide. Et à ce moment- là je comprendrais qu’elle était sous la même pression de la performance que le chiot. Je sentais compassion pour les deux. Je m’ai demandé si le propriétaire était devenu « comme ça » parce qu’il avait reçu seulement l’attention de ses parents pour des « bonnes notes et l’excellence ». Est-ce que nous étions ici dans l’école canine pour « entrainer » nos chiens ou est-ce que c’était plus pour nous d’apprendre comment éduquer quelqu’un dans une façon cohérente et non-violente ? C’étaient mes pensées à ce moment-là. Le prochain jour, quand je me suis promenée avec Kalle, il y avait un pasteur allemand en courant vers moi. Son maître avec sa femme et sa fille de 10 ans le suivait. Le chien s’est caché derrière moi et le propriétaire a pris mon bras pour attraper le chien avec l’autre main. Il lui donnait la commande de s’allonger mais le chien ne l’écoutait. Alors le maître lui a fouetté avec sa corde. La fille m’a dit : « Nous avons des problèmes avec notre chien. Nous ne sommes pas allés à l’école canine quand il était encore petit. Maintenant il a deux ans et il n’obéit pas. Nous nous pouvons seulement promener avec lui où il n’y a pas beaucoup des gens. Nous ne savons plus quoi faire. »

Je regardais cette petite fille et ça me faisait triste comme elle voulait trouver une solution pour « les problèmes de la famille ». Je me souvenais de ce que m’a dit mon thérapeute : « Si tu n’entraînes pas à ton chiot tu ne vas plus le faire écouter quand il est grand avec ses 40 kilos. Et alors, il y aurait une autre histoire triste d’un chien qui est mise dans un refuge aux animaux parce que son propriétaire ne peut plus le contrôler. »

Je regardais encore une fois la famille et les donnait l’adresse de l’école canine ou j’allais. Ils hochaient la tête mais j’avais l’impression qu’ils ne suivaient pas le conseil. Ça me faisait triste de voir que mon thérapeute a eu raison : Il y avait beaucoup des chiots qui pouvaient faire ce qu’ils voulaient parce qu’ils regardaient leur propriétaires avec ses yeux adorables. Mais quand ils ont grandi ce que était mignon était maintenant dangereux et le propriétaire décide de donner le chien indocile dans un refuge aux animaux. Mon entraineur des chiens a dit une fois qu’il n’y pas des chiens agressifs dans la nature. Dans la plupart des cas c’est nous-les hommes-qui font que les chiens n’écoutent pas ou qu’ils sont agressifs. C’est pour ça que je pense qu’il est nécessaire d’aller à l’école canine pour nous et pour notre corrélation avec notre chien. Ce sont mes pensées que je voulais partager avec vous, chers lecteurs.

Renate Weber

 

 

 

Pourquoi est-ce j’ai un chien? Je ne le sais pas sûrement. La seule chose que je sais, ce que je me sens moins seule. J’ai l’impression que le petit chien me guide de la solitude à la «propre vie ». Si lui  il sent une fleur ou veut attraper un papillon c’est comme si je découvre le monde pour la deuxième fois. J’ai eu une fausse-couche. Et même qu’aucun être vivant peut être remplacé par un autre je suis très heureuse d’être avec mon chiot. Ca me donne une nouvelle perspective : La « vielle » Renate qui avait peur des foules et était triste de voir des familles « heureuses » là dedans a changé beaucoup. Maintenant –comme mère du chiot- je fais attention qu’il ne mange pas des choses dangereux et qu’il n’aie pas peur des vélos, des gens en courant et des machines. Comme un chiot n’ai pas « un sentiment du temps » moi aussi je vis plus « le moment ». Le présent c’est le seul temps où on peut guérir. Je suis toujours triste des choses du passé et j’ai encore plus peur que quelque chose de pire se peut passer au future. Mais, je ne reste plus tant du temps dans ces pensées négatives. Et, je sais aussi qu’ «avoir un chien » n’est pas la solution générale pour tout le monde qui a des dépressions ou des expériences traumatiques. Mais, je sais que pour moi le chien m’aide de ne pas diriger toute la agressivité supprimé contre moi-même. Le chiot me fait me réveiller à las cinq heures du matin. Nous nous promenons jusqu’au fleuve. Les premières minutes je suis du mal humeur et il me manque mon lit. Mais après m’avoir baigné avec le chien mon jour peut vraiment commencer. Je sais que au moins six heures plus tard je serai « au monde » avec mon chien. Il y a encore du temps pour réfléchir de « ma vie » silencieusement. Mais ce temps est plus « legère » que les longs heures que j’ai passé dans mon lit avant –en essayant de me cacher de la « réalité du monde ». Le rapport avec mon chien me fait plus contente et je me compare moins avec les autres gens. Ce sont mes pensées que je voulais partager avec vous, chers lecteurs.

Renate Weber

L’énergie

Oú est-ce que toute mon énergie va ? Quelquefois je suis fatiguée seulement quand je me promène dans la cité et il y a beaucoup de gens. Si je me promène le weekend dans les parques la foule m’énerve : Les familles avec des enfants en criant, les chiens et les jeunes avec leur musique. La même chose se passe si j’éspère pour aller aux toilettes dans l’avion. ça se passe dans les conférences et pendant les événements publiqus. Je me demande toujours pourquoi je suis comme ça. Je sais que les gens autour de moi ne me font pas du mal. Et je me demande qu’est-ce que se passe « dans moi » quand je me concentre tellement aux gens autour de moi. Là, il me paraît que je perds mon corps. Et j’entre dans les corps et les vies des autres. Je perds mes « contures » si je reste trop de temps dans la foule. Et c’est seulement à moi d’apprendre de changer ma « perspective ». Il y a la loi que l’énergie suivit l’attention. Moi, je peux sentir la présence des autres avant que je les ai vues. C’est comme une serpente qui peut « voir » la chaleur de la souris de loin. Mais moi, je ne veux plus vivre « la vie des autres » sans l’énergie pour ma propre vie privée. Et dans ce moment me venaient les mémoires de mon enfance : Comme petit fille j’avais une amie très chère : Nous sommes allées au collège et après nous avons exploré « le monde ». Quand j’étais avec elle je me sentais «en sécurité ». Même s’il y avait des profs et des copains méchants je pouvais toujours parler d’eux avec elle. Les autres étaient « encore là » mais je ne me sentais pas « attaqué » par ses « énergies ». Et là il me venait l’idée d’inventer le magicien « EL Sabio » (=L’homme qui sait tout). Il apparaît aussi dans mon livre « Renate ou le voyage au centre de l’être ». Lui aussi peut sentir tous les énergies tout suite. Comme tous les caractères de mon conte de guérison sont aussi parts intérieurs de moi, je peux me sentir plus protégée avec lui comme aide. Il peut contrôler les énergies avec son magique. Peut-être dans son présence je peux rester avec mon attention « en moi ». Et j’éspère que ainsi les conférences ne me coûtent tant d’énergie qu’avant. Ce sont mes pensées qui je voulais partager avec vous, chers lecteurs.

Renate Weber

Le Futur

Quelquefois je me demande quand dans ma vie adulte j’ai vraiment veçu au présent : dans le moment. Comme je me demande toujours si j’ai fait tout correctement je passe la moitié de mon temps au passé. L’autre moitié du temps je pense au futur. Le temps qui n’est pas encore arrivé. J’ai toujours l’impression que je n’ai plus du temps pour faire les choses qui sont importants pour moi. De l’autre côté je passe presque tout mon temps dans les deux mondes qui existent à l’écart de la vie : le passé et le futur. Dans le pays du future tout est possible mais il y a aussi ma peur que ma vie changera : que les amitiés cessent d’être des amitiés, que les gens aimés décèdent. Moi aussi, je vais mourir un jour dans le futur. Et malgré que la publicité fait des pubs avec la jeunesse et fait peur de vieillir moi je me souviens bien de ma tristesse et incertitude quand j’étais jeune. La jeunesse ne m’a pas aidé à être contente parce que je ne me connaissais pas encore et je ne savais pas ce qui était important (pour moi). Quand on me critiquait j’ai pensé que la critique était raisonnable et c’était moi qui était « fausse ». Jusqu’au point d’aujourd’hui quand je pense que la critique appartient plutôt à la personne qui la dit. Parce que maintenant j’ai travaillé avec mes problèmes et je les connais. ça me fait triste de penser que j’ai seulement su ce qui est important quand j’étais dans une crise (de santé). Comme si je pouvais seulement vivre le moment quand la morte et l’horreur sont devant ma porte. Peut-être c’est le temps unique quand j’évalue tout ce que j’ai du bon dans ma vie. Peut-être c’est comme avec an ami qui s’en va : Je ne « comprends » pas l’importance de l’amitié jusqu’au moment oú elle n’existe plus. Les autres jours je ne pense qu’aux choses qui ne marchent pas encore dans ma vie. Comme ça je ne peux pas vivre le moment. Mais le moment c’est le seul temps quand je peux vivre la vie complètement. Toutes les autres choses me séparent de la vie : Quand mes amies me racontent quelque chose je pense déjà aux choses que je dois faire après. Si j’ai réussi à faire quelque chose je pense déjà au prochain projet. Peut-être c’est le temps de me donner une promesse : Je vais-au moins une fois par jour vivre le moment- même si cela signifie que je me sens triste, seule ou vide à ce moment.

Ce sont mes pensées qui je voulais partager avec vous, chers lecteurs.

Renate Weber