La sauvetage du faon Anuschka: Anuschka répresente la parte blessé dans moi. Cette parte est restée dans une rigidité du choc dés l’aggression sexuelle qui s’est passé dans mon enfance. En sauveant cette parte vingt ans plus tard je pouvais trouver plus de calme et mes cauchemars s’ont Reduits.
Anuschka est sauvée par Fulna. Celle-ci l’amene dans le desert des âmes perdues. Ici il y a tout les âmes qui ont été separées de leur déteneur par en évenement terrible. L’âme de Anuschka est aussi là.
Anuschka vive des aventures avec Kai et Fulna dans le Pays du changement. Quand elle revient à son Pays a revoir sa famille elle note qu’elle ne veut plus s’ adapter à son “vieux rôle” dans la famille. En regardeant dans une flaque elle reconnaît qu’elle n’a plus les taches de Bambini sur sa fourrure. Elle est devenue une adulte. Elle decide de quitter sa famille pour suivre sa propre vie.
Qu’est-ce que c’est le jour du balai ? C’est le jour quand j’ai compris plus de la vie, des fautes et surtout du « jeu de la culpabilité ». Quand j’avais 9 ans j’ai été abusé sexuellement par un membre de ma famille. Dès ce temps là – même que cela aurait dû être dans l’autre sense- je me suis senti coupable et j’avais honte d’être moi-même. Ma mère traitait le « sujet » comme un tabou, ainsi que je croyais que tout était ma faute parce que j’aimais ma famille et naturellement ma famille m’aimait aussi. Plus tard, comme adulte je me suis souvent rencontrée dans des situations (privées ou du travail) ou les gens me montreraient du doigt quand j’ai fait un faute ou même si je n’avais pas fait une faute ils me « douchaient » avec leur agressivité. Comme parte de moi toujours croyait en être toujours coupable et que les autres avaient raison je ne me suis pas défendu. Comme conséquence j’étais la victime parfaite pour tous ceux que n’adressaient pas leurs conflits dans les situations adéquates mais usaient le jeu de la culpabilité pour se débarrasser de leurs déchets internes. C’était toujours comme ça jusqu’au jour du balai. C’était un jour normal, je me suis levée très tôt, j’avais promené mon chien d’assistance et je préparais pour mon travail. Juste avant de sortir de mon appartement j’ai ouvert la porte et j’ai vu un balai, ma balayette et ma pelle de poussière rempli de boue avec une lettre de ma voisine en haute. Premièrement j’étais très irritée : C’était un vendredi et j’avais un longue jour de travail à faire. J’ai compris tout de suite que si je lisais la lettre maintenant mes pensées seraient « occupées » du contenu et cela me ferait plus stressée en travaillant avec mes élèves. D’habitude je voulais résoudre tout au moment où le problème était là, mais maintenant j’ai laissé tout comme ça et je suis parti au collège. Là tout s’est passé bien jusqu’après la pause du midi : J’étais debout devant mes élèves quand mon téléphone portable sonnait. J’étais alarmée que quelque chose s’avait passé avec mes parents et je contestais l’appel. C’était l’homme qui promenait mon chien Kalle quand j’avais des jours longs au collège. Kalle s’avait enfuit après un conflit avec un autre chien. Il a croisé l’avenue quelque fois, finalement il avait eu peur et est retournée chez « l’homme des chiens ». Maintenant il était sur la laisse mais « l’homme des chiens » ne voulait plus travailler avec lui. Il craignait que Kalle s’échapperai aussi dans le future. Je me sentais sans énergie et j’ai lui dit de le rappeler quand je retournais du collège. Arrivée à la maison je voyais le balai etc. à côté de ma porte. Kalle m’accueillit en me léchant le visage. A ce moment-là c’était clair pour moi que je ne pouvais persuader l’homme des chien ne résoudre le problème avec ma voisine. J’étais trop énervée après une semaine turbulente. C’était un beau jour et à cet instant j’ai décidé de ne plus réagir tout de suite aux choses que les autres me lançaient à moi. Une parte de moi voulait instantanément écrire une lettre avec des justifications à ma voisine. Mais je ne l’écoutais pas. Puis j’ai pris mon chien, je l’attachais avec sa laisse au crochet de ma bicyclette et nous nous sommes allés aux lacs. Cela durait une heure pour arriver là-bas. Pendant le retour Kalle s’est reposé dans sa remorque rouge. Quand nous sommes arrivés à la maison ma colère n’était plus encore là. Enfin je lisais la lettre de ma voisine. Elle « disait » qu’elle trouvait l’escalier dégoûtant parce que peu après que la femme de ménage l’avait nettoyé mon chien le salissait. En soupirant j’ai pris ma pelle à poussières et je balayais « l’objet du litige ». Je balayais tout la boue que Kalle, les autres quatre chiens du bâtiment, l’homme des chiens et moi avons fait pendant la journée. Avant de m’endormir à côté de mon chien révolté et je demandais pourquoi ma voisine ne m’avait pas parlé en lieu de « construire une tribune d’accusation» comme ça. Pourquoi est-ce qu’elle avait « choisi » moi de tous les propriétaires du chien dans notre bâtiment ? Quelque part dans mon subconscient je savais que ces situations toujours se répétaient dans vie parce qu’il y avait une parte de moi qui était profondément convaincu que même avant que les autres pouvaient montrer leur doigts dans ma direction c’était moi qui était « la coupable » pour tous les choses. C’était un vendredi quand j’ai rencontré ma voisine devant la porte principal et je l’ai demandé pourquoi elle ne m’avait pas parlé le vendredi matin. J’essayais de l’expliquer que je nettoyais souvent l’escalier « après Kalle » mais qu’il avait encore quatre chien dans le bâtiment et que l’homme des chiens venait pendant les heures où je travaillais pour les promener. Lui aussi, il laissait de la boue sur l’escalier quand il venait de ses promenades avec les chiens. Ma voisine m’avait interrompu quelque fois en répétant tout ce qu’elle avait écrit dans la lettre. Je lui ai promis de parler avec les autres propriétaires du chien pour « partager la nettoyage de l’escalier ». Quand elle était en train de sortir pour son travail et le porte se fermait lentement elle criait : « Je veux que tu me retournes ma baie !!! ».
A cet instant là j’ai compris que oui il y avait un problème de la boue sur l’escalier, mais qu’aussi ma voisine avait un problème car elle n’avait pas pu parler avec moi ou les autres propriétaires du chien d’une manière adéquate. Quand je regardais le balai qui était encore à côté de ma porte j’ai compris que ce n’a pas été moi qui l’avait mise là et que ce n’était pas ma responsabilité de le « rendre » à moi voisine. Je l’ai laissé à côté de ma porte et j’étais étonné que ma voisine n’est pas venue pas à le chercher. Ce jour là- le jour du balai je comprenais que même que dans la critique de ma voisine il y avait un grain de vérité j’étais une bonne personne à ma façon. Et cette nuit-là je me jurais de ne jamais me laisser user comme une poubelle pour les agressions des autres. J’ai parlé avec mon autre voisine qui a trois chiens. Nous avons été d’accord de partager le nettoyage de l’escalier pendant la semaine. Aussi j’ai parlé avec l’homme des chiens. Il a accepté de continuer à travailler avec Kalle si le chien reste sur une longue laisse pendant la promenade. Il m’a promis de « nettoyer les traces de boue » après lui. Quand je vois ma « voisine du balai » je la salue poliment car ce n’est pas elle qui est « le problème ». Le problème c’était que je ne me suis pas traité très bien au passé et que la critique dur des autres ajoutait à ma misère « fait maison ». Pourtant le balai se trouve encore à côté de ma porte comme un monument fière du changement interne que j’avais fait. Cela c’est l’histoire que je voulais partager avec vous, chers lecteurs.
Quand j’avais 16 ans je voulais viager à l’île de El Hierro pour rendre visite à mon père pendant les vacances de Noël. Comme El Hierro c’est la plus petite des îles de Canaries je devais m’en aller jusqu’à Tenerife et prendre un petit avion là- bas. Arrivé à Tenerife je montais dans un car public qui venait de l’aérodrome du sud à l’aérodrome du nord. J’étais très fatiguée. C’est pour ça que j’espérais que le voyage aura bientôt terminé et je pouvais me reposer. Tout à coup le temps changeait : il y avait des nouages maintenant et le vent se levait fortement. Quand je suis arrivée à l’aérodrome du nord j’avais encore 2 heures d’espérer jusqu’à ce que mon vol sera annoncé par des moniteurs. J’intentais à dormir, mais les constants annonces par un haut-parleur ne me laissaient dormir. Quand enfin « mon vol » apparaît sur les écrans il avait du retard. J’étais énervée mais j’avais encore l’espoir que bientôt je pouvais dormir dans l’appartement que mon père avait loué sur l’ile de El Hierro. Encore deux heures plus tard j’ai lu que mon vol avait été « annulé ». Même que un vrai tempête se passait dehors et il n’y avait plus beaucoup du monde dans l’aérodrome je ne pouvais pas comprendre que « mon vol » ne venait pas à me chercher. J’avais du froid, j’étais épuisée et je n’avais aucune idée quoi faire maintenant. Les employés de l’aérodrome étaient en train de le fermer et on me disait que je ne pouvais pas dormir ici. Dans ma tête j’espérais contre tous les circonstances que je pouvais arriver à « l’île de mon père » en bac. J’ai parlé avec des touristes mais ils m’ont assuré qu’ils venaient juste de le havre et qu’aucun bac éculait du port à cause de la tempête. Nous avons pris un taxi ensemble pour dormir dans un hôtel pas loin de l’aérodrome. Le martin prochain quand nous sommes arrivés à l’aérodrome on nous disait que notre vol avait du retard. Comme si je pouvais accélérer les choses je m’imaginais l’avion à hélices comme il volait dans notre direction. Je luttais une bataille intérieure dans ma tête parce que je voulais sortir de cette situation frustrante. Quand nous avons vu que notre avion débarquait j’étais heureuse. Mais cela ne durait pas très longtemps : Pendant le décollage l’avion tremblait : Le vent arrière le poussait fortement. A ce instant là j’ai compris que nous pouvions actuellement mourir en combattant la tempête. J’étais complétement rigide de peur. A mon côté les jeunes de l’équipe du foot étaient assis. Ils ont vu ma peur et m’ont dit : « ꜟTranquila ! ꜟEl avión sale ! = Calme toi ! L’avion va arriver bientôt ! »
J’étais très étonnée de leur allégresse dans cette situation. L’avion quand même « sautait » de temps à l’autre et il me ressemblait à un grand huit. Quand nous avons finalement atterri j’étais soulagée mais aussi totalement stressée.
Pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ? Parce que je crois que déjà aujourd’hui je perds beaucoup d’énergie parce que je ne veux pas accepter comment « danse la vie ». Comme avec 16 ans j’essaie de changer tout en luttant contre les circonstances dans ma tête. Mais, comme j’ai appris il n’y pas beaucoup de temps c’est aussi impossible comme changer quelqu’un. Je commence à comprendre que –quelque fois- la seule chose raisonnable à faire c’est de « lâcher les choses ». Je ne peux pas influencer comment vont toutes les choses dans ma vie, aussi je ne peux pas changer que les autres gens voient les choses différemment. Mais il y a la possibilité d’obtenir un peu de liberté : Je peux décider quel « chemin » je veux prendre : Le chemin de lutter contre tout le monde et toutes les choses ou celui-là qui me laisse accepter que c’est juste comme ça. Le dernier me laisse respirer d’abord profondément et puis je fais une promenade avec mon chien. Et c’est ce que je voulais partager avec toi, cher lecteur, que quelquefois nous avons le choix d’être heureux ou de découler les vieux chemins. Salut !
Renate Weber
Cela c’est Kalle, mon chien d’assistance en formation. Il a ne qu’un an et je l’entraîne sous la surveillance de mon entraineur des chiens. Quand ma vie « avant Kalle » était une lutte constante de me lever et de sortir de la maison surtout pendant les week-ends, maintenant j’ai du devenir plus discipliné. Je crois que des fois c’est plus facile de faire quelque chose pour quelqu’un que « seulement » pour soi-même. Mais il y a des moments quand Kalle aboie à la lune, des vieux voisins ou même des poubelles ou je me demande si c’est vraiment le chien qui m’aide ou au retour. En fait j’ai plus du travail avec lui qu’avant et après l’entrainement à la maison il paraît avoir oublié tout quand nous sommes dehors. Mais ce n’est pas comme ça : Comme moi il est distrait de milles des odeurs, bruits et mouvements. Et quand il peut encore m’apporter des objets dans la maison, il les laisse tomber dehors et oublie complètement qu’ils sont là J.
Morrie Schwarz a dit : « Comme enfant et quand nous devenons vieux on a besoin de l’aide des gens. Mais il y a un secret : On a aussi besoin des gens pendant le reste du temps.[1] »
Que cela c’est vrai j’ai remarqué quand Kalle s’est enfuit de la maison :
Tous les voisins de ma rue sont venus à le chercher. Quand nous l’avons trouvé
nous l’avons amené à la maison. Cette nuit j’ai compris que Kalle m’avait déjà
aidé : Nos promenades quotidiennes m’avaient connecté positivement avec
mes voisins. Sa joie constante quand il pouvait « renifler le monde dehors »
m’avait libéré de mon isolation et du sentiment que tout est déjà trop
stressant. Sans me rendre compte j’avais passé mon paroi de peur et de
dépression et laissé de vivre dans le passé sombre. Et même maintenant quand je
suis « arrivée » au week-end et j’ai besoin de dormir beaucoup à
cause de la surcharge sensorielle mon petit copain poilu est là avec moi derrière
le paroi sombre. Et ici il y a ce que je voulais partager avec vous : Même
quand tu as le sentiment que tout ce que tu fais c’est en vain les animaux te
le vont remercier. Quand Kalle me lame les mains ou s’assois derrière moi dans
la queue du supermarché pour me « protéger » je sais que tout valait
la peine.
[1] Schwarz, Morrie, Tuedays with Morrie, New York 1997.
Cela c’est ma famille. Et même qu’ils sont très differents (les cochines d’Inde sont des animaux qui se cachent dans une cave, le chien est un animal de chasse) ils me donnent un sentiment d’être à l’aise et en securité. Avec un peu de l’entrainement et beaucoup des gateux du chien ils s’ont acceptés. Ce que je voulais dire c’est que dès que je les ai je suis plus contente avec la vie. Ils m’acceptent comme je suis chaque jour même quand je suis de mal humeur ou malade. Je sais bien qu’un animal ne peut pas “remplacer” un humain. Mais maintenant je suis tant occupé Avec les 3 animaux que je moins du temps de réfléchir sur les personnes qui m’ont fait du mal. Aussi je suis plus genereuse Avec mes amis et les autres personnes parce que je ne suis plus seule et je me sens moins isolé. En me promeneant avec le chien je suis plus en contact avec la nature et les autres gens. C’est ce que je voulais partager avec vous, chers lecteurs.
Chers lecteurs,
Très souvent je me sens comme mon chien d’assistence dans la foto. Dans mon lit je veux m’échapper du monde et devenir “moi-même” encore une fois. Mais le sentiment que la maladie/la depression ne va terminer jamais me fait “lourde”. Mon chien, même qu’il avait du mal après l’operation, n’ a pas cette habitude. Il peut vitement changer de la douleur dans son corps à la joie de se promener dehors (Voyez la foto en bas!). Quand j’ai été dans la clinique psychosomatique avec un Burnout (épuisement) je pensais que je ne pouvais jamais encore être heureuse. Maintenant je sais que c’étaitent beaucoup des pas (aussi des pas en arrière) sur mon chemin jusqu’ aujourd’hui. Ici sur ma page web J’ai écrit un extrait en francais sur mon séjour dans cette clinique. Peut- être cela peut vous aider ou vous donner des idées.